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dématérialisation

  • Dans la série "les gens ne sont jamais contents" (2)

    Régine-trente-cinq-ans-de-mairie me fait remarquer une fois de plus que nous consommons des quantités grandissantes de papier. C'est son antienne. Je suis obligée d'en convenir, en lui rappelant que certes nous recevons beaucoup moins de courrier papier et beaucoup plus de courriels, avec des pièces jointes que nous imprimons, mais que nous faisons des économies par ailleurs (déjà on gagne un temps fou à l'enregistrement du courrier "papier") et que nous aussi nous envoyons des pièces dématérialisées.

    "Tiens, justement, cette année on peut envoyer la liste électorale sous forme dématérialisée. Vous l'avez fait pour la liste complémentaire ?

    - Non, j'ai pas confiance."


  • Courage, dématérialisons !

    Je sors, la tête farcie, d'un énième rendez-vous avec un fournisseur de solutions informatiques en vue de la dématérialisation de nos documents. Avec l'approche de l'échéance de 2014 - pas celle des municipales, celle du fameux PES V2, le nouveau protocole d'échange standard de la Direction des Finances - nous allons enfin passer à la transmission dématérialisée des pièces justificatives : factures, devis, bons de commande, marchés. Du coup, je suis assaillie de demande de rendez-vous des prestataires informatiques de la région. Open Bee, Nérios, Therefore, c'est toute une panoplie de solutions, toutes différentes, toutes séduisantes, mais impossibles à comparer entre elles. Ceci dit, il y a toujours une faille.

    "Et... pour les factures écrites à la main, sur papier autocopiant au format A5, on fait comment, ça reconnaît les caractères quand même votre technologie OCR ?
    - Comment ça, des factures à la main ?
    - Ben oui, la boulangerie du coin de la rue qui fournit la cantine, la station d'essence où vont les véhicules municipaux...
    - Ah non, là ça océrise pas, ça océrisera pas du tout..." a reconnu le commercial d'un air soudain très las.