Le 8 mai, le 11 novembre, c'est bon, on a l'habitude.
Le 5 décembre a fini par s'imposer sur le 19 mars, on essaie de s'en souvenir.
Le 14 juillet, lui, a l'avantage de ne pas bouger.
Le 18 juin, on ne fait rien de spécial.
Ni le 25 septembre, ni le 8 juin, d'ailleurs. On pavoise.
Pour ne pas zapper la journée nationale à la mémoire des crimes racistes et antisémites de l'Etat français et d'hommage aux Justes de France, je me le marque en rouge dans mon agenda à la date du dimanche 18 juillet (le dimanche le plus proche du 16).
Seulement là, encore une fois, je me suis fait avoir. Il faut dire qu'on n'a reçu aucun fax de rappel de la préfecture.
On a oublié de pavoiser pour le dernier dimanche d'avril, journée nationale du souvenir des victimes et des héros de la Déportation, oupsssss...